Message aux parasites
A la fac, dans la zic

1er Couplet – 16 mesures

Me fanent ces multiples relations d' couloir.
Avec ces personnes à qui tu n'dis plus qu'bonjour et au revoir. 
Obligation dans ta vie de tous les jours sans l' vouloir.
Ca finira par m'rendre fou j'ai donc prévu l'entonnoir.
Une poignée d'main, un r'gard en coin, un signe lointain,
de lendemain en lendemain en lendemain puis un beau jour plus rien !
Rien d'anormal pour un contact purin.
Né d un pur hasard, putain, des comme ça j en ai plus d'un.
Qui t'regardent avec dédain, air de pantin de bon matin,
contact établit en vain, bon qu à t'parasiter sur ton propre terrain.
C'est étrange mais plus l'on s'aperçoit moins j'ai d'entrain.
Tu hantes mon quotidien. Tu as osé entré dans mon train-train.
Je m'sens à l'étroit chaque fois qu'on s'croise
je file tout droit. Marre des "ça va ?" "ça va et toi ?"
Je prend sur moi chaque fois qu'tu m'toise.
Je n'ai pas de ruse, je n'ai pas de cheval de Troie.
Je ne t'aime pas un point c'est tout. Quoi qu'est-ce que tu crois ?

Refrain

Message aux parasites, à la fac ...

2ème Couplet – 16 mesures

Je vous supportes vous et vos virus.
Plus je m'emporte, plus l'amphore est lourde et plus mes muscles
se pétrifient, s'électrifient
à l'idée de vous avoir sur le dos jusqu'à la fin d'mes jours.
Faites vous sauter la cervelle et je vous l garantis,
de mon plexus solaire sortiront des ailes.
Des ailes déséquilibrées finiront par pousser
s'ils ne cessent pas dans leur tubes programmés de s'autotuner.
Ils ont ça dans les veines, c'est évident, ils agissent par centaine,
et se produisent toujours sur le devant des mêmes scènes.
Depuis tout p'tit j'ai la même flemme mais la même flamme dans les gênes.
Mes oreilles saignent donc je prie pour celles qui s'imprègnent sans blem
des enseignes diaboliques, reines de c'game, dont elles sont l'emblème.
J'en pleure comme un enfant en cage, une jeune femme fontaine.
Que cette production, un de ces 4, passe à l'antenne.
Que les autres passent à la poubelle ou finissent en quarantaine.
Fin de la parenthèse !

Message aux parasites
A la fac, dans la zic